Avec mon copain on s’était dit qu’après nos vacances on ralentirait sur l’alcool. Sachant que lui a un terrain très additif. En vacances, en septembre, pareil que vous, on a bu comme des trous tous les jours.
Je savais qu’il avait un fort penchant pour l’alcool, mais comme il avait toujours su être maître de lui-même, je ne réalisais pas à quel point il était dedans. Jusqu’à qu’un jour, après nos vacances, il dépasse les limites en rentrant alcoolisé. Et pour la première fois je l’ai vu devenir agressif.
Je suis toujours partie du principe que si qqn devait arrêter ou réduire sa consommation, cela devait être une démarche personnelle. Et il semblerait qu’il ait eu un déclic, car depuis il n’a pas bu une goutte, et il a arrêté la cigarette aussi.
Je lui ai dit une fois, que je n’accepterai plus de débordement, que j’étais prête à le soutenir s’il en avait besoin, et l’accompagner dans ses démarches, mais le reste c’est à lui de le faire.
Je voulais qu’il consulte un professionnel mais il ne s’en sent pas encore capable. Mais bon, pour l’instant il gère…
Après c’est vrai que la période des fêtes n’aide pas. Je ne saurai quoi te conseiller, moi je me suis dit que si ça se reproduisait une fois, je partirais. Car on ne peut pas sauver qqn qui ne veut pas se sauver, et l’alcoolisme me fait très peur, c’est un très long combat, donc je pense qu’il faut aussi penser à soi et se protéger.