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Dec 18
19:30
Avec mon copain, nous sommes partis plus d’un mois en vacances à l’étranger et on a picolé et fumé quasi tous les jours, on s’était dit que dès le retour en France on arrêterait tout. De mon côté, chez ma famille je m’y tiens. Du sien, il boit quotidiennement depuis qu’il a retrouvé sa famille et ses potes et ne s’en cache pas, me dit qu’il enchaine les apéros… ça me saoule, j’ai pas envie qu’il devienne alcoolique, je sais même pas si on peut déjà considérer ça comme de l’alcoolisme d’ailleurs, mais j’ai pas envie que ça s’empire, puis ça entraine inévitablement sa conso de tabac etc. Et ce qui me peine c’est qu’il me dit ça de manière totalement détachée, sans penser à la décision ferme qu’on avait prise ensemble à ce sujet, dès notre retour en France. On est physiquement séparés pendant les fêtes et j’ai pas envie de faire la reloue par message mais franchement ça me préoccupe… vous avez déjà vécu une situation similaire?
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Dec 18
20:24
Je suis partie à l’étranger aussi, dans mon pays d’origine et là, on boit littéralement toute la journée. Je pouvais boire 2 litres de bière par jour 😩😩 je suis revenue en Belgique et depuis je bois toutes les semaines, donc il devrait faire attention ! Au début j’étais très détachée aussi, puis là ça fait quelques temps que je me rends compte que je dois boire toutes les semaines minimum sinon je trouve ça comme bizarre quoi… mais oui il faudrait essayer de lui en parler sans qu’il se renferme car le déni c’est super fréquent
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Dec 19
02:40
@Épicurienne oui je comprends que si vous avec pris cette décision a deux c’est pas cool de pas le faire. Après pour un peu le « défendre » c’est pas la période la plus facile, c’est les fêtes, il y a les retrouvailles famille, amis .. Et si vous commenciez ensemble le 1 janvier ? C’est plus facile de le faire a 2 physiquement ensemble 🙌
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Dec 19
11:50
C’est assez difficile en période de fête de s’empêcher de boire quand on à l’habitude de boire et qu’on a pas vraiment envie ou besoin d’arrêter (je veux dire si il y a aucune contrainte niveau santé par exemple), et au nouvel an aussi.. je serai déçue aussi à ta place mais déjà : bravo à toi de t’y tenir c’est vraiment super ! Toi c’est toi, lui c’est lui. Au moins toi tu en es capable et c’est une belle victoire. À ta place je laisserai passer les fêtes et en janvier je lui rappellerai son objectif, en mode au fait ça en est où ton arrêt de l’alcool et du tabac ? 👀 Mais sans lui donner l’impression que tu lui mets la pression quoi, et l’encourager à le faire sans le forcer, après tout il doit le faire pour lui sinon ça fonctionnera pas..
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Dec 19
11:53
Personnellement mon ex avait un problème avec l’alcool et j’ai mis du temps à m’en rendre compte. J’ai tout essayé pour lui faire comprendre, ses parents aussi, rien n’a changé et aujourd’hui ce n’est plus mon problème on n’est plus ensemble ! Il existe un barème en ligne fait par l’état, je sais plus où tu peux le trouver mais c’est sous forme de questionnaire et selon le score ça te montre si ta consommation est problématique ou pas. Ça peut te donner une idée concernant la sienne !
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Dec 19
12:00
Avec mon copain on s’était dit qu’après nos vacances on ralentirait sur l’alcool. Sachant que lui a un terrain très additif. En vacances, en septembre, pareil que vous, on a bu comme des trous tous les jours. Je savais qu’il avait un fort penchant pour l’alcool, mais comme il avait toujours su être maître de lui-même, je ne réalisais pas à quel point il était dedans. Jusqu’à qu’un jour, après nos vacances, il dépasse les limites en rentrant alcoolisé. Et pour la première fois je l’ai vu devenir agressif. Je suis toujours partie du principe que si qqn devait arrêter ou réduire sa consommation, cela devait être une démarche personnelle. Et il semblerait qu’il ait eu un déclic, car depuis il n’a pas bu une goutte, et il a arrêté la cigarette aussi. Je lui ai dit une fois, que je n’accepterai plus de débordement, que j’étais prête à le soutenir s’il en avait besoin, et l’accompagner dans ses démarches, mais le reste c’est à lui de le faire. Je voulais qu’il consulte un professionnel mais il ne s’en sent pas encore capable. Mais bon, pour l’instant il gère… Après c’est vrai que la période des fêtes n’aide pas. Je ne saurai quoi te conseiller, moi je me suis dit que si ça se reproduisait une fois, je partirais. Car on ne peut pas sauver qqn qui ne veut pas se sauver, et l’alcoolisme me fait très peur, c’est un très long combat, donc je pense qu’il faut aussi penser à soi et se protéger.
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Dec 19
12:01
Et dans mon cas, je voulais arrêter comme lui, mais je n’y arrive pas, par contre j’ai quand même réussi à réduire. Et je sais que pour mon copain, il se savait alcoolique, depuis très longtemps, ce qui aide dans la démarche car il n’était pas dans le déni.
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Dec 19
20:12
Chacun sa vision des choses mais moi j'apprécierais pas du tout et j'organiserais un petit appel pour se mettre d'accord ! Je suis désolée je suis hyper ouverte d'esprit mais on banalise trop le fait de détruire sa santé en buvant quotidiennement Alors oui, je vois pendant les fêtes, je comprends que ce soit difficile pour lui de gérer ça pendant les fêtes mais à un moment donné on est victime que de ses propres décisions..
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Dec 19
21:15
Il me semble qu’il est super difficile de se libérer de son addiction à l’alcool quand on a un entourage qui boit aussi ( peu importe la quantité ) c’est comme pour la cigarette ou le joint .. je pense que ton copain voulait sans toute tenir ses engagements avec toi et il a dû être influencé par sa famille.. Peut être que quand il sera avec toi ce sera à nouveau plus facile pour lui de diminuer Je comprend quand même que tu sois agacée de son attitude de détachement vis à vis de ça, toi tu as peur que ça s’empire alors que peut être que lui il se dit que c’est exceptionnel car il est en famille et que après il va diminuer donc il le prend peut être pas autant au sérieux Vous aurez sûrement l’occasion d’en parler En tout cas c’est une démarche courageuse que d’essayer d’arrêter ça, car ce n’est pas toujours évident
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Dec 21
09:40
Merci beaucoup à toutes pour vos messages, en effet c’est pas la période la plus simple pour se calmer avec l’alcool. Hier on s’est encore disputés, il ne m’a pas répondu de toute la soirée, je me suis fait un sang d’encre comme d’habitude à m’imaginer les pire scénarios… et mon inquiétude était quand même bien légitime : il me répond à 2h30 du mat qu’il est en train de vomir qu’il est trop mal qu’il a abusé avec son pote… Évidemment je réagis mal, lui dis qu’à quand même quasi 40 ans on se met plus dans ses états comme ça… il me dit « j’ai passé l’âge qu’on me dise des choses comme ça » mais mdr, on aurait pas besoin de lui dire à son grand âge si il se comportait pas comme un gamin de 18ans quand il boit 😅 Je finis par lui dire que je suis triste, qu’il se bousille la santé et fait du mal a ceux qui l’aiment en continuant… lui demande si il se déteste autant pour se mettre aussi mal, me répond « exactement »… enfin bon c’est vraiment dommage. C’est tellement une belle personne, j’ai jamais été aussi bien avec un mec, il a tellement de qualités et on s’entend si bien que j’ai pas envie de le lâcher mais je sais pas quoi faire étant donné qu’il semble être dans le déni et se braque quand on en parle
 
Dec 21
10:58
Est-ce que tu sais s’il a des soucis en tête en ce moment? Car dans mon cas, mon copain ça se passait mal au travail, et il avait des problèmes familiaux, donc forcément, il se réfugiait dans l’alcool. C’est vrai que de se mettre minable jusqu’à vomir, ce n’est pas anodin. Quand on débute l’alcool, ok on ne connaît pas encore ses limites mais arrivé un moment, on doit savoir se gérer. De toute évidence, il doit y avoir qqch qui ne va pas. Mais s’il ne veut pas t’en parler, ou régler le souci, ça risque d’être compliqué. Fais attention à toi, ça peut vite être destructeur.
 

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